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Archives de catégorie : Alzheimer
Bilan médical du lundi 3 au dimanche 9 juillet 2023 : euthanasie et Alzheimer avancé, médecine générale en Ecosse, dépistages.
Le service public en train de sauver la médecine générale.249. Euthanasie en cas d’Alzheimer avancé.Un tweet d’un gériatre des hôpitaux.Vous pouvez suivre le fil de discussion : LAQuelques réflexions : L’euthanasie, selon la définition histo… Continuer la lecture
Des médicaments à ne pas utiliser : 2023

Prescrire publie chaque année une liste des « médicaments à écarter pour mieux soigner ». La liste 2023 (publiée en décembre 2022) comporte 107 médicaments officiellement autorisés en Europe, dont 88 sont commercialisés en France. Pour la rédaction Prescrire, ces médicaments ont une balance bénéfices-risques négative dans toutes les situations pour lesquelles ils sont autorisés.Ces médicaments sont … Lire la suite Continuer la lecture
Un Chinois de 19 ans atteint de la maladie d’Alzheimer
Des neurologues chinois rapportent, dans un article publié en ligne le 31 janvier 2023 dans le Journal of Alzheimer’s Disease, un cas de maladie d’Alzheimer à début particulièrement précoce. Le patient en question n’a que 19 ans. C’est la première fois que l’on diagnostique une maladie d’Alzheimer chez un adulte aussi jeune. La maladie d’Alzheimer, …
Continuer la lecture de « Un Chinois de 19 ans atteint de la maladie d’Alzheimer »
Plaques amyloïdes et Alzheimer. Histoire de santé publique sans consultation 6.
Jackson Pollock (1912-1956)Number 1 – 1949Les fraudes supposées sur l’origine supposée de la maladie d’Alzheimer (ICI) m’ont permis d’avoir des nouvelles de Monsieur A, 73 ans.Monsieur A est un ancien patient qui m’a envoyé un mail avant-hier où il m’a… Continuer la lecture
Bilan médical du lundi 18 juillet au dimanche 24 juillet 2022 : Industrie rose, nécessité des essais contrôlés, morale et médecine, Flahault doit-il être réintégré ?, fraudes dans les études, fraude massive sur l’étiopathogénie d’Alzheimer, fraude sur la sérotonine…
Ernest Hemingway (1899-1961Le dépistagocapitalisme fait du fric sur le corps des femmes : l’industrie rose (cancer du sein) Voir ICI le film qui montre comment l’Eglise de Dépistologie est non seulement infiltrée par les firmes « roses »  … Continuer la lecture
Pygmalion a de la poigne
Voyant Pygmalion fol amoureux de la sculpture qu’il venait de réaliser, Aphrodite la transforma en femme afin que le sculpteur puisse l’épouser. L’effet pygmalion, issu de cette mythologie grecque, désigne une prophétie auto-réalisatrice positive. Inversement, Golem est un humanoïde hideux, … Continuer la lecture → Continuer la lecture
Alzheimer : Courrier
J’ai reçu hier ce courrier :Cher confrère, Je suis le Dr P.S., gériatre dans le service du Professeur XXX, au CH de XXX, chargé de la consultation de mémoire de ce service. Vous vous souvenez peut-être de moi.Lorsque vous m’avez écrit en 20… Continuer la lecture
La médecine m’inquiète : microf(r)ictions (93)
Le déremboursement retardé des médicaments prétendument anti Alzheimer illustre à merveille les problèmes soulevés par Cifu et Prasad in : Ending Medical Reverse. Voir ICI et LA.Sur quelles bases scientifiques les AMM sont-elles accordées.Pourquoi le s… Continuer la lecture
Le saviez-vous ? Le vin contient de l’alcool et on aimerait que vous l’oubliiez !
Pétitions de grands noms, dont un oncologue , lobbying de la profession, les temps sont durs pour la ministre de la santé qui met le vin au même plan que toutes les autres boissons alcooliques. Un choix qui n’a pas … Continuer la lecture → Continuer la lecture
Alzheimer. Le non déremboursement de médicaments inefficaces et dangereux : Marisol Touraine fait le job des lobbys.
Marisol Touraine, dont j’avais montré en son temps qu’elle était la marionnette parfaite (il est difficile d’utiliser un tel adjectif avec cette femme dont Christian Lehmann a écrit récemment qu’elle était « veule, stupide, consternante », ICI) du lobby santé-industriel qui règne sur la santé publique en France (LA), a donc décidé qu’il ne fallait pas tenir compte des avis d’une agence gouvernementale pourtant ad hoc, la HAS, et que des médicaments inefficaces, coûteux et dangereux pouvaient continuer à être remboursés. Il s’agit des médicaments dits anti Alzheimer.
Marisol Touraine fait le job des lobbys.
Sans oublier Christian Lehmann que nous avons déjà cité et qui publiait le 21 septembre 2011 un billet définitif : ICI.
Et j’en oublie.
Ce qui est aussi très intéressant c’est que les MG, pour une fois, dans une de ces manipulations dont les grands professeurs, la CPAM et la Direction Générale de la Santé ont le secret, ne pourront pas être accusés de trop prescrire d’anti Alzheimer puisqu’ils n’avaient pas le droit d’en initier la prescription ! Seuls les néreulogues, les gériatres et les médecins ayant une compétence en gériatrie avaient le droit de le faire…
Derniers points :
Alzheimer : des actions médicosociales au moins aussi efficaces que les médicaments
La maladie d’Alzheimer fait peur. Peur aux personnes qui prennent de l’âge et peur aussi aux conjoints ou aux familles qui seront directement concernées. Même si de nombreux travaux scientifiques sont en cours, on ne dispose pas pour l’instant de … Continuer la lecture → Continuer la lecture
La mésentente
En bleu, c’est Sidonie, auxiliaire de vie diplômée.
En noir, c’est Madame Couché, épouse de Monsieur Couché.
Sidonie est une soignante, Madame Couché est une aidante. Toutes deux prennent soin de Monsieur Couché.
Et voilà, je me suis encore fait avoir! J’aurais dû être ferme, j’aurais dû expliquer (une fois de plus) que je suis auxiliaire de vie, pas aide-ménagère, pas bonniche, pas bonne à rien. J’aurais dû lui dire à cette bonne femme, que je suis pas là pour ça. Mais j’ai pas osé. J’avais pas envie. Pas envie de m’énerver dès le matin. Pas envie de parler, pas envie d’expliquer, pas envie d’argumenter. Alors j’ai fait ce qu’elle m’a dit. J’ai obéi, sans discuter, comme si de rien n’était. Comme si c’était normal.
J’étais censée être là pour Monsieur Couché, pour l’aider à se lever, à se laver, à s’habiller. J’étais censée faire ça, oui, ainsi que le petit-déjeuner. J’avais une heure pour faire tout ça, c’était largement assez. Pour une fois, le plan d’aide permettait vraiment d’intervenir dans de bonnes conditions, et pas au pas de courses comme chez tant d’autres. Mais quand je suis arrivée, à huit heures tapantes comme tous les matins, Monsieur Couché n’était plus couché. Il était levé, lavé et habillé. Il avait même pris son petit-déjeuner! Et moi, j’étais là, complètement inutile, face à ce monsieur qui n’avait déjà plus besoin de moi, à me demander ce que j’allais bien pouvoir faire avec lui. Alors, en bonne professionnelle que j’espère être, je lui ai proposé autre chose. Après tout, si Monsieur Couché se débrouille tout seul pour « les activités de la vie quotidienne », je peux aussi proposer mon aide pour « le maintien de la vie sociale ». J’étais sur le point de lui suggérer de lui lire son journal (il ne peut plus, le pauvre, avec sa DMLA galopante) quand sa femme a surgi de nulle part pour me demander de faire la vaisselle, les lits (oui, LES lits, donc celui de Monsieur et celui de Madame) et un peu de ménage.
Mais… Mais… Mais?! Mais je suis pas là pour ça! Je suis là pour Monsieur Couché, pour l’aider lui, pas pour la maison, pas pour elle! Je suis auxiliaire de vie, pas aide-ménagère! J’ai fait une formation, j’ai passé un diplôme, c’est pas pour me retrouver à faire du ménage à huit heures du matin alors qu’il y a déjà une aide-ménagère qui vient pour ça deux heures par semaine!
Ça, c’est ce que j’ai pensé très fort… Mais comme tous les matins, je n’ai pas osé le dire. Et comme tous les matins, j’ai fait ce que Madame me demandait de faire. J’ai fait la vaisselle du petit-déjeuner, j’ai fait les lits, j’ai passé un coup de balai et étendu le linge. J’ai fait tout ça en silence, pendant que Madame restait enfermée dans sa chambre. J’ai fait tout ça en retenant mes larmes, parce que je me sentais nulle, et inutile. J’ai fait tout ça en maudissant Madame Couché de me voler mon travail, en maudissant ma responsable de secteur de ne jamais mettre les choses au point avec les bénéficiaires et leurs familles, et en me maudissant d’accepter d’être ainsi rabaissée. J’ai maudit tout le monde, fait signer ma feuille de présence, et suis partie chez Madame Debout, qui allait sans doute me demander de faire la poussière, une fois de plus, alors que je l’ai déjà faite hier…
Ça y est, elle a réussi à me mettre de mauvaise humeur pour la journée! Tous les matins c’est la même chose, et ça fait des mois que ça dure! Elle se pointe à huit heures, la bouche en coeur, avec sa jeunesse effrontée et ses petits bras musclés, et elle se met en tête de s’occuper de mon mari. Sauf que mon mari, merci mais ça va, je m’en occupe. Parce qu’à huit heures, ça fait déjà longtemps qu’il est prêt mon bonhomme! Tu parles, à six heures il est réveillé et il hurle pour que je vienne le lever, alors je vais quand même pas attendre deux heures que Mademoiselle Sidonie se ramène! Je leur ai dit, pourtant, au bureau, que huit heures c’était trop tard, mais ils m’ont dit que personne n’intervenait avant cette heure, et que si je n’étais pas contente je pouvais toujours m’adresser à une infirmière libérale… Sauf que chez nous, les IDEL, elles viennent plus pour les aides à la toilette, alors je fais comment moi? Eh ben je vous le donne en mille : je fais, et puis voilà, c’est pas plus compliqué que ça. Je lève mon mari, parce que tout seul il ne peut plus, et puis je lui fais sa toilette, et puis je l’aide à s’habiller… Et quand tout est fait, il n’est pas sept heures, alors on va pas attendre une heure en se regardant dans le blanc des yeux. Alors forcément, je prépare le petit-déjeuner, et on le prend tous les deux, comme avant. Avant la maladie. Avant la dépendance. Avant la visite du médecin conseil. Avant les plans d’aide qui t’octroient généreusement quelques heures par semaine tout en te faisant bien comprendre que quand même, heureusement qu’on est là hein! Avant la responsable de secteur avec son sourire mielleux et son regard condescendant. Avant Sidonie.
Le café du matin, c’est notre seul moment calme de la journée. Parce qu’après, il y a Sidonie. Et encore après, c’est la course, toujours. Parce que mon bonhomme, c’est toute la journée qu’il a besoin d’aide. Pas juste le matin entre huit heures et neuf heures. Parce que la maladie d’Alzheimer, c’est toute la journée et toute la nuit, tous les jours, tout le temps. Quand il se lève, il est malade. Quand il mange, il est malade. Quand il parle, il est malade. Quand il marche, il est malade. Et quand il dort… il est malade aussi. Et moi je suis malade de sa maladie. Je suis malade de l’aider, de l’entendre crier, de faire à sa place. Je suis malade de notre intimité perdue. Je suis malade de son lit médicalisé qui prend toute la place, et malade de devoir dormir dans une autre pièce, parce qu’il n’y a plus de place pour moi dans la chambre conjugale. Malade de son déambulateur, de sa chaise percée et de la douche adaptée qui a remplacé la baignoire. Malade d’être sa garde-malade avant d’être son épouse. Malade de la famille qui ne vient plus nous voir parce que « c’est compliqué », malade des voisins qui nous évitent parce que « le monsieur est bizarre », malade de Sidonie qui rentre dans notre maison, qui farfouille dans notre cuisine et qui s’adresse à lui comme à un enfant. Qui s’adresse à lui hein, pas à moi. Parce que moi, je n’ai besoin de rien, c’est évident. Moi je suis l’épouse revêche, celle qui vole le travail des gentilles auxiliaires qui ne demandent qu’à aider. Moi je suis la méchante qui demande à la gentille de faire le ménage alors qu’elle est diplômée et pas payée pour ça. Moi je suis celle qui abuse des aides sociales, qui vole l’argent du contribuable pour se faire payer des heures de ménage sur le dos de la dépendance.
Mais je voudrais bien qu’elle comprenne, la gentille Sidonie, que pendant qu’elle fait ce qu’elle appelle les basses besognes, je peux avoir une heure pour moi, une petite heure, une toute petite heure. Une toute petite heure pour me laver et m’habiller. Une toute petite heure pour passer un coup de fil à notre fille à l’autre bout de la France. Une toute petite heure pour courir acheter le pain et son journal. Une toute petite heure pour me reposer quand la nuit a été éprouvante, quand je me suis levée toutes les deux heures pour recoucher mon bonhomme qui déambulait, ou pour nettoyer les toilettes après son passage. Je voudrais bien qu’elle comprenne tout ça Sidonie, qu’elle sache que faire du ménage c’est tout aussi important que le reste, parce que ça allège un peu le quotidien.
Parce que pendant une heure, une petite heure, une toute petite heure, je ne suis plus une aidante. Je suis une épouse pour mon mari, une mère pour notre fille… et une femme.
Ceux qui s’oublient
Il déambule dans les couloirs de la maison de retraite en gémissant. Il ne sait pas où il est, il a oublié qui il était. Parfois, il croise quelqu’un en tenue blanche et il l’attrape par la manche.
– S’il vous plaît! Aidez-moi!
Les soignants évitent ce vieillard sénile. Ils font de grands détours pour ne pas avoir à le croiser. Parce qu’il pleure tout le temps. Parce qu’il les agrippe et ne les lâche plus. Parce qu’ils ne savent plus comment lui répondre.
Il est recroquevillé dans son lit. Il ne parle plus, ne voit plus, n’entend plus. Il n’est plus qu’un corps qu’on lave et qu’on nourrit, un corps à qui on ne prend même plus la peine de parler. Un corps qu’on maintient en vie, sans douceur, sans un mot.
Il bougonne dans son coin. L’auxiliaire de vie est nulle. L’infirmière est toujours en retard. Le boucher n’est pas aimable. Le boulanger vend du pain rassis. Son chien est stupide.
Rien ni personne ne le fait sourire. Sa vie n’est que bougonneries.
À la ferme il faut travailler dur, on ne se repose jamais. Ils sont douze enfants, il est le quatrième de la fratrie. Ils aident tous leurs parents, c’est normal, il y a tellement de travail! Les vaches, la volaille, le blé, le maïs… Jamais de repos.
Ses parents sont morts depuis longtemps, la ferme a été vendue… mais pour lui, le passé est au présent, et le présent n’existe plus.
C’est un homme sale dans une maison sale. Il parle salement, mange salement, s’habille salement… Bref, il vit salement. Il est sale et il est seul.
Sale parce qu’il est seul ou seul parce qu’il est sale?
Ce sont des hommes. Plus ou moins vieux. Plus ou moins malheureux.
Ce sont des pères. Plus ou moins aimés. Plus ou moins oubliés.
Ils ont été jeunes. Ils ont peut-être été beaux. Ils ont fait briller les yeux d’une femme. Ils ont murmuré des mots tendres, ont embrassé une bouche offerte, ont caressé un corps aimé. Ils ont tenu un enfant dans leurs bras, l’ont bercé et consolé. Ils ont aimé, pleuré, crié. Ils se sont parfois trompés. Ils ont fait comme ils pouvaient.
Aujourd’hui, leurs femmes sont mortes et leurs enfants sont partis. Ou le contraire. Ils ont oublié. Oubliés la voix de leur femme et le sourire de leur fils. Oubliés les jolies boucles de leur fille et les pique-nique au bord de l’eau. Oubliées la vie des enfants et la mort de l’épouse. Ou le contraire.
Aujourd’hui c’est aussi la fête de ces pères qui oublient et qu’on oublie. Bonne fête à ceux que la maladie n’a pas oubliés.
Le contrat
Article 212 : Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance.
Tu te rappelles mon amour? Ces voeux, nous les avons faits ensemble devant le maire. Toi, moi, par un beau samedi du mois de juin, il y a cinquante-quatre ans. Toi dans ton beau costume, moi dans ma robe blanche. Nos parents, fiers, souriants, et cette belle photo de nous en noir et blanc qui trône sur la cheminée depuis tant années. Fidélité, secours, assistance. Des engagements que nous avons tenus. Jour après jour, malgré la trop charmante voisine qui te tournait autour, malgré la perte de ton emploi, malgré l’accident qui a coûté la vie à notre fille.
Article 213 : Le mari est le chef de la famille. Il exerce cette fonction dans l’intérêt commun du ménage et des enfants.
Tu as travaillé dur. J’ai élevé nos enfants et tenu la maison. Quand tu rentrais le soir, la soupe était prête et la maison propre. Un parfait petit mari travailleur, une parfaite petite maîtresse de maison. Une parfaite petite famille dans une parfaite petite maison.
La femme remplace le mari dans sa fonction de chef s’il est hors d’état de manifester sa volonté en raison de son incapacité, de son absence, de son éloignement ou de toute autre cause.
Parfois, tu partais loin. Je m’occupais de tout. Tu pouvais avoir l’esprit tranquille, tu savais que tout irait bien en ton absence. Je pouvais avoir l’esprit tranquille, je savais que nous serions heureux de nous retrouver.
Article 214 : Si le contrat de mariage ne règle pas la contribution des époux aux charges du mariage, ils contribuent à celles-ci en proportion de leurs facultés respectives.
Nous n’avons presque manqué de rien. Nous avons pu acheter notre maison et payer les études des enfants. Tout était bien. Bien sûr il y a eu des périodes difficiles, parfois, mais ça n’était rien à côté des privations subies pendant la guerre. Nous avions tellement manqué de tout quand nous étions enfants! Alors, pouvoir manger à chaque repas et dormir au chaud, quel luxe en vérité!
La femme s’acquitte de sa contribution aux charges du mariage par ses apports en dot ou en communauté et par les prélèvements qu’elle fait sur les ressources personnelles dont l’administration lui est réservée.
Si l’un des deux époux ne remplit pas ses obligations, il peut y être contraint par l’autre époux dans les formes prévues à l’article 864 du code de procédure civile.
Nul besoin de contrainte dans notre couple. L’argent n’a jamais été sujet de discorde entre nous. Nous étions économes sans être radins, nous avions ce qu’il fallait sans crouler sous l’opulence. Je n’ai jamais vérifié tes fiches de paye, tu n’as jamais vérifié mes dépenses pour le ménage. La confiance était totale et réciproque.
Article 215 : Le choix de la résidence de la famille appartient au mari ; la femme est obligée d’habiter avec lui, et il est tenu de la recevoir.
C’est sur ces dernières phrases que nos chemins se séparent. Tu comprends mon amour, je ne peux plus vivre avec toi. Parce que justement, je ne vis plus. Parce que je passe mes jours et mes nuits à m’inquiéter pour toi. Parce que nous sommes devenus des étrangers l’un pour l’autre. Je ne suis plus ton épouse. Je suis parfois ta soeur, souvent ta mère, et la plupart du temps une parfaite inconnue. Tu n’es plus mon époux. Tu es celui qui hurle la nuit, celui qui m’insulte, celui qui m’ignore. Je voudrais t’aimer, mais je n’y arrive plus. Parce que tu me fais peur, parce que m’épuises, parce que tu finiras par me tuer.
Je ne me débarrasse pas de toi mon amour. Je le fais pour toi, pour moi, pour nous. Je le fais parce que nous avons été un couple heureux, et que je veux garder ce souvenir de nous. Parce que tu étais mon mari, mon amant, mon tout. Parce que notre amour n’a pas su résister à la maladie. Parce que je suis trop vieille pour mourir d’amour.
Tes valises sont prêtes. Toi, tu tournes en rond dans le salon, comme tous les jours. Je t’ai parlé de cet endroit où tu allais, je t’ai dit que je ne t’abandonnais pas mais que je te confiais à d’autres qui sauront mieux s’occuper de toi. Je ne t’ai pas menti. Alors pourquoi ai-je ce sentiment amer d’une ultime trahison? Pourquoi cette culpabilité lancinante? Pourquoi cette envie de mourir quand je t’offre une nouvelle vie?
Pourquoi ce chagrin d’amour alors que nous nous sommes tant aimés?
Article final : Jusqu’à ce qu’Aloïs vous sépare.*
* merci à @kataidante pour la touche finale
Un malade d’Alzheimer sur deux n’est pas diagnostiqué. Article écrit par un robot dans le journal Le Monde.
Ensuite, en lisant l’article (qui reprend sans le savoir, à moins que le robot n’ait été programmé ou qu’il ne s’agisse que du recopiage pur et simple du communiqué de presse officieux de Cap Retraite, on se rend compte que :
- Il y a 500 000 personnes qui souffrent d’Alzheimer et, d’après l’INSERM, un million en souffrirait… Sous-diagnostic.
- Le nombre de ces malades risque de doubler et d’atteindre les 2 millions en 2014. Apeurer les populations.
- Dans les départements les mieux lotis 30 % des malades seraient effectivement pris en charge et, ailleurs, 15 % On sent le scandale pointer.
- Et là, on sort l’arme magique : le médecin généraliste ! Arme bien entendu à double tranchant : on a besoin de lui, il ne fait pas encore son boulot, il va le faire et s’il ne le fait pas, c’est que c’est un khon. MG bashing.
- La phrase choc sur la prise en charge précoce. On cite un gériatre cité dans l’étude qui fait partie de Cap Retraite. « Une prise en charge précoce permettra au sujet de rester plus longtemps à son domicile, lieu par excellence à favoriser, car porteur de l’histoire et de la mémoire » Hugues Bensaïd est expert Cap Retraite : LA.
- Rengaine : les MG ne font pas leur boulot. En effet, « 20 % des malades estimés résidant à domicile sont pris en charge par les ESA, es accueils de jour spécialisés et l’hébergement temporaire, les 80 % restants n’ayant pas encore été suivis, faute de diagnostic ». Comme en d’autres domaines « on » demande aux MG, ce « on » signifiant les experts, les spécialistes, les gériââââtres, les marchands de réseaux, les marchands de médicaments, les marchands de structure, les promoteurs immobiliers, les mutuelles, les assureurs, qu’ils se transforment en rabatteurs pour le plus grand bien de la santé publique. un citoyen qui oublie l’endroit où il a posé ses clefs, une citoyenne qui ne se rappelle plus ce qu’elle a vu à la télé la veille, est un Alzheimer en puissance, un ou une citoyenne que le MG, brave gars un peu niais (la MG, brave fille un peu niaise), doit ficher immédiatement pour l’adresser dans un centre mémoire où, n’en doutons pas, le diagnostic d’Alzheimer sera porté, les anti Alzheimer prescrits, et cetera.
- L’article continue, il avait des trucs à vendre : Il faut créer 20 fois plus de places en ESAD et multiplier par 10 le nombre de places d’accueil de jour, et, dans les Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Le robot serait-il passé par les ARS ?
- Mais, on l’aura remarqué, l’article ne dit pas un mot sur les médicaments dits anti Alzheimer, on n’oserait plus ?
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Gertrude Weaver, 116 ans, doyenne de l’humanité pendant 5 jours |
Le médecin généraliste (je commence le blablabla) est effectivement au centre de la prise en charge des personnes âgées.
Petit détour : et si les malades Alzheimer (sic) n’étaient que le symptôme plus général d’un problème sociétal éternel (la peur de la maladie et de la mort) et circonstancié (le vieillissement de nos sociétés et le nombre accru de personnes atteignant le stade de dépendance et le grand âge) et d’un problème anthropologique (la gestion des anciens par les familles).
L’anticipation est le maître mot de la médecine longitudinale. parler de l’avenir avec ses patients est une façon de les informer et de les sonder sur leurs intentions, leurs possibilités et sur les moyens dont ils pourraient disposer quand ils commenceront à perdre leur indépendance.
Il n’est pas de semaine où je ne reçois un ou une patiente qui pense avoir un Alzheimer car elle a des trous de mémoire, il n’est pas de semaine où je ne reçois un ou une patiente qui me dit que la prochaine fois que je verrai son conjoint, sa conjointe, interrogez le (la) sur ses trous de mémoire, ça devient pénible.
Je commence par interroger, je commence par prendre le pouls (au sens figuré) de la situation médicale, familiale, sociale, avant (1) d’administrer un test de mémoire, (2) d’adresser.
Quand j’ai l’impression que c’est rassurant je fais passer un test MMS (mini mental state), téléchargeable pendant la consultation pour la consultation suivante, qui, le plus souvent, dans ces cas bien entendu, est rassurant : rassurant par ses résultats, rassurant parce que le patient, la patiente, est étonné (e) de la simplicité et de l’évidence des questions. Il est donc nécessaire de rassurer, de comprendre ce qu’il est possible de changer dans la vie du patient pour qu’il aille mieux.
Les personnes vieillissantes ont peur d’être malades, de souffrir, de devoir dépendre de quelqu’un, elles sont anxieuses, elles dorment mal, et cette anxiété, cette trouille, cette angoisse, intergissent avec leurs performances mentales, avec leur mémoire, et pas seulement en raison des anxiolytiques et des hypnotiques trop souvent prescrits. Il ne faut pas confondre les causes et les conséquences (à moins que cela ne soit l’inverse).
Et les familles des personnes vieillissantes, attention, j’enfonce des portes ouvertes, sont elles-aussi anxieuses que les personnes vieillissantes qu’elles aiment souffrent, perdent la mémoire et… meurent. Comme dirait l’autre : cela les renvoie à leur propre vieillissement…
Une anecdote : une patiente sous neuroleptiques et anxiolytiques est vue lors d’un passage à l’hôpital (problèmes digestifs) par la consultation mémoire qui conclut à un Alzheimer… Les troubles de la mémoire et la désorientation ne devaient pas faire partie des effets indésirables notés des neuroleptiques et des anxiolytiques (la malade a retrouvé ses esprits et n’a plus d’Alzheimer).
Quand le malade, la malade, a vraiment un Alzheimer ou apparenté. Il faut d’abord travailler avec la famille, quand c’est possible. Il est rare que les familles soient absentes ou qu’elles ne soient pas capables de gérer avec l’aide des services sociaux (assistantes sociales, centre de gérontologie) les problèmes d’APA et la recherche de structures. Le maintien à domicile est souvent plus compliqué à organiser et coûte cher.
Mais le rôle du MG, en général, à condition qu’il s’agisse d’une famille qu’il connaît, est surtout un rôle d’accompagnement des familles. Pas un rôle médical, sinon gérer le quotidien. Soutenir le mari ou la femme non malade. Voir les enfants, leur parler. Savoir que cela risque d’être un bouleversement considérable dans l’équilibre familial. Etablir, avec les services compétents, un projet de vie.
Heureusement, nous sommes partis loin de l’article robotisé.
Mais les problèmes liés au vieillissement… Cela ne vous donne pas envie d’être anxieux ?
Tu connais Christelle? Et Doune, tu la connais?
Il, Elle…
Elle a encore perdu ses clés.
Il ne sait plus où il a garé la voiture.
Elle cherche ses mots.
Début.
Il ne sait plus où il habite.
Elle a oublié les prénoms de ses enfants.
Il se croit en 1960.
Suite.
Elle regarde sa fourchette et ne sait comment s’en servir.
Il enfile son pyjama par-dessus son pull.
Elle sort acheter du pain à deux heures du matin.
Suite…
Il urine dans sa penderie.
Elle ne s’est pas lavée depuis deux semaines.
Il ne reconnaît plus sa femme.
Suite…
Elle mange ses selles.
Il se perd dans sa maison.
Elle crie des mots incompréhensibles.
Suite…
Il ne mange plus.
Elle ne marche plus.
Il ne parle plus.
Suite…
Elle s’efface.
Il s’oublie.
Ils disparaissent.
Fin.
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