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Archives mensuelles : août 2013
Urgences vitales et différées
A la télé ou dans les films, une urgence chirurgicale, c’est ça : Monsieur Malaubide passe la porte des Urgences avec son mal au ventre et arrêt…
Lire la suite…
Article original rédigé par Stockholm et publié sur Le Blog de Stockholm
Reproduction interdite sans… Continuer la lecture
Prénom: SP.
Jusqu’il y a vingt ans, notre loi Française encadrait de façon relativement directive le choix des prénoms des enfants que l’on inscrivait à l’Etat Civil à leur naissance. Hormis dans certaines régions où l’empreinte culturelle est vivace, il était d’usage d’extraire le prénom du nouveau-né d’un calendrier religieux, ou d’en choisir un « issu de l’histoire ancienne ».
Les cultures et les traditions familiales agrémentaient la chose: ajout de « Marie » parmis les autres prénoms donnés, choix du prénom d’un ascendant, d’un défunt récent proche de la famille, choix de prénom d’une personne célèbre que les parents admirent.
De nombreux spécialistes de la chose psychologique se sont penchés sur les enjeux du choix du prénom, du moins dans notre culture. Pour les parents, l’enjeu est avant tout l’affection et les sentiments qu’ils projettent sur l’enfant. La pression sociale en ce domaine est forte. Quelle femme enceinte ne s’est pas vue questionner, après le sexe de l’enfant à venir, sur le prénom qu’elle est censée avoir choisi pour lui?
Et pourtant, il est des situations ou des cultures où le mode d’attibution du prénom diffère.
Une de mes connaissances a vécu la dure expérience des « Boat-People » au cours de la guerre au Viet-Nam. Embarquée en catastrophe dans des conditions terribles sur un bateau, débarquée avec l’aide d’une organisation humanitaire, elle avait tout perdu, y compris ses papiers d’identité. Au moment d’en établir de nouveaux et de faire une demande d’asile, elle a réussi à épeler et faire écrire son nom. Pour le prénom, on lui a tendu une liste en lui demandant de chercher le sien dedans, qu’elle n’a bien sûr pas trouvé. Elle a choisi le premier prénom féminin sur la liste: Alice. Donc, depuis plus de quarante ans, elle se prénomme Alice, en tous cas pour les personnes qu’elle a rencontrées dans sa nouvelle vie.
Une de mes amies Japonaise m’avait expliqué que ses parents avaient composé son prénom: chaque syllabe correspondait à une qualité particulière. En France comme au Japon, elle n’avait jamais eu d’homonyme.
Donner à un enfant le prénom d’une personne admirée se retrouve dans de nombreuses cultures. Lorsque j’habitais au Brésil, j’ai côtoyé des collègues dont le prénom était Gutenberg, ou Mozart, ou Lénine, et personne ne s’étonnait de rien. Les prénoms sont là-bas bien plus variés qu’en France, d’origines très diverses, et surtout ne semblent pas lever autant d’émotion qu’en France.
J’ai aussi une connaissance au Cameroun qui nous racontait qu’un Père Blanc avait vécu longtemps dans son village, et avait laissé de très bons souvenirs aux habitants. Il avait eu ce commentaire étonnant: « Il est resté trop longtemps: tout le monde s’appelle comme lui ».
Les choses étaient différentes lorsque je travaillais sur les aires de stationnement des Gens du Voyage. Le prénom donné à l’Etat-Civil revêt à leurs yeux bien moins d’importance que le surnom donné par la famille, ce qui est la source d’histoires souvent relatées en maternité: la mère à qui on demande le prénom du bébé interroge les personnes présentes dans la salle sur le leur, et choisit parmi ceux que l’on vient de citer. Il ne s’agit pas là de mépris ou de négligence de sa part, elle compte prénommer son enfant quand elle sera revenue dans l’intimité de la famille. Le prénom à l’Etat-Civil est d’ailleurs souvent appelé par ces enfants « nom d’école », car l’école est le seul lieu où on l’utilise pour s’adresser à eux. Ceci explique aussi qu’il arrive que le personnel des services d’urgences pédiatriques entendent prononcer cette question: « c’est quoi, déjà, le nom du petit? ». Il ne s’agit souvent pas de fraude à la carte Vitale, mais juste d’un questionnement sur le prénom « des papiers » qui n’est utilisé dans aucun autre contexte. Le prénom familial leur est autrement plus précieux.
Il y a vingt ans, une modification du code civil Français a permis aux parents un choix plus vaste pour leurs enfants, ne les soumettant plus à la nécessité d’avoir recours à un calendrier ou à des fait historiques. La diversité des prénoms s’est alors subitement agrandie.
L’influence marquée de la culture anglo-saxonne dans notre quotidien est rapidement apparue. Les héros de sagas audio-visuelles, homonymes de stars extra-nationales ont fait irruption dans les mairies, sous une indignation bien-pensante. Quel soignant n’a jamais entendu tenter de qualifier le contexte social d’une famille en utilisant un prénom? On avait entendu jusque là « c’est une… Marie-Chantal », et on a entendu « c’est un… Dylan/Jason/Kevin… », avec tout le mépris que cette dénomination implique.
L’orthographe des prénoms libérée, certains ont opté pour une singularité qui n’apparaisse qu’à l’écrit. Un même prénom est devenu variable. Il faut remarquer aussi que faire inscrire le prénom voulu à l’Etat-Civil lorsqu’on ne maîtrise pas l’écriture n’est pas toujours aisé. Le prénom Jason prononcé à l’anglo-saxonne devient Djayzon sur les papiers, les parents n’ayant pu l’épeler au moment de l’inscription, et l’officier d’Etat-Civil s’étant contenté d’un recueil phonétique.
Qu’il soit sur les papiers ou oral, le prénom est partie pleine et entière de la personnalité, et nécessite le respect.
S’il est un lieu où l’orthographe des prénoms est un peu trop libérée, il s’agit des cartes VITALE, a fortiori si le porteur n’est pas d’origine Française. Pourtant, il faut fournir un papier d’identité pour l’obtenir, où le nom et le prénom sont imprimés lisiblement. On ne peut incriminer ni l’illettrisme de l’intéressé, ni une mauvaise écriture.
Le sommet de l’humiliation est atteint avec la mention SP accolée au nom sur la carte: « sans prénom ».
Brève récupératrice.
Grandado conseille son père face à la difficulté d’assumer physiquement un travail de débroussaillage en plein soleil:
– Si tu t’assieds et que tu te reposes, tu gagnes des points de vie.
IVG et PMA : entre Jekyll et Mr Hyde
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Dr Jekyll, je tiens fermement la sonde. L’image se dessine sur l’échographe. 11 semaines d’aménorrhées. La forme est claire.
Il est courant d’entendre parler d’échec de la part de ces femmes irresponsables, coupables devant la société d’un manque de vigilance – c’est mon médecin qui m’a enlevé l’implant. Il pensait que c’était l’implant qui me donnait des chutes de tension. Il m’a prescrit une pilule à la place, il m’a dit que je ne devais la commencer qu’au retour de mes règles – ou d’une absence totale de responsabilisation – mon gynécologue m’a dit que mon stérilet était responsable de mes infections urinaires, alors je ne peux prendre que la pilule, mais je l’oublie souvent -, etc.
…
Un même service. Un objet de préoccupation identique, et deux formes distinctes d’injustice. Les premières, des femmes, sont les injustes victimes de leur propre société. Les seconds, des couples, injustes victimes d’une nature foutrement complexe.
Raté
Il s’en est vraiment fallu de peu. J’ai failli ne jamais m’inscrire en fac de médecine. En terminale, alors que j’avais toujours été bonne élève, j’ai eu un chagrin d’amour. THE chagrin d’amour. Mes notes ont plongé. 3,5/20 de moyenne … Lire la suite → Continuer la lecture
Le marmot baroudeur
Lorsque j’étais jeune (enfin encore plus que maintenant quoi), je me voyais devenir une grande aventurière.
Une baroudeuse voyageant enfants dans le sac à dos, sauvant le monde tout en faisant découvrir à mes rejetons tous les pays du monde afin qu’ils apprennent la VRAIE vie, loin du luxe et du superflu.
Quelques années plus tard, il a bien fallu revoir un peu la donne.
La baroudeuse a peur des araignées (et de manière générale de tout ce qui a plus de quatre pattes) ; j’ai bien compris que je ne sauverai pas le monde étant donné que je ne sais MÊME PAS SOIGNER UN RHUME (et que de manière générale je suis un peu plus réaliste sur le faible interêt de mes compétences à l’étranger) ; j’ai admis que je ne pourrais pas visiter tous les pays du monde et que finalement ma campagne elle était bien jolie ; et j’ai réalisé que – bien que ça reste possible – vivre sans domicile fixe avec des enfants à l’étranger, c’était un peu plus compliqué que ça quand même. Et qu’un peu de superflu et un bon lit moelleux, c’est pas mal aussi des fois.
Ceci dit, on était bien décidé à rester des parents-trop-cool à l’arrivée de Tétarde. Hors de question de passer dans la catégorie des parents ringards-laisse-tomber-eux-on-les-voient-plus-depuis-qu’ils-ont-un-gosse. Faut dire, comme on a des faux nains, ça aide un peu. Notre vie a donc continué (presque) comme avant, et Tétarde a été trimballée de resto en soirées chez des potes, en passant par les matchs de hockey, le tout en roupillant comme une bienheureuse là où on daignait la poser.
Lors de son premier été, histoire de coller à l’image de la baroudeuse-trop-cool que j’espèrais encore avoir, j’ai embarqué tente, Ours et Tétarde pour des vraies vacances en camping, parce que c’est trop bucolique (et baroudeur).
Si le manger, le boire ou le lavage n’ont pas trop posé problème, nous rions encore jaune en repensant à la nuit (particulièrement pourrie) que nous avons passé. S’il était déjà un peu dur de partager l’espace avec l’Ours, c’était sans compter une Tétarde qui trouva l’expérience fort marrante et qui passa la soirée à nous grimper dessus, avant de s’endormir – épuisée par tant d’exercice – à la perpendiculaire des matelas. Le réveil par une couche (pleine) en plein dans la tronche reste l’apothéose de ces vacances aventurières.
La Tétarde aime à se carapater cul nu pour se rouler dans les brindilles
Forts de cette formidable expérience, lorsqu’on nous a précisé pour la bringue de ce week end que « les chambres seraient réservées aux plus vieux, les autres c’est en tente » j’ai cru bon de préciser « par contre, on sera avec la Squatteuse…
– oui oui ok c’est cool, pas de soucis ! »
Heu bon ok, pas de soucis, si vous le dites. Dans les faits, dormir en tente avec la Squatteuse me paraissait faisable, mais le fait qu’on me l’impose me gênait un chouillat quand même. (Parce qu’en plus ça m’empêchait de sortir la carte « parent-trop-cool » et de proposer moi même l’alternative champêtre)
Si notre tente possède l’option aérations-spécial-odeurs-et-transpiration-d’Ours, on n’a pas le lit bébé intégré. Il a vite paru évident que si nous voulions éviter que la Squatteuse finisse (liste non exhaustive)
– coincée sous un matelas
– enroulée dans un sac de couchage
– catapultée à travers la tente lorsque l’Ours se retournera sur le matelas pneumatique
il fallait qu’elle dorme dans sa nacelle. Ca tombe bien, la Squatteuse est pile poil assez petite pour tenir encore dedans, et pile poil assez grande pour avoir accumulé suffisamment de réserves pour résister au froid, et tenir la nuit sans chialer. Bon. Pour une nuit, ça devrait le faire.
Grand geste, on nous permit alors d’échanger nos tentes, afin de pouvoir profiter d’une tente familale, avec un joli salon où entreposer le fardeau marmot.
Bref, on était au taquet. Presque enthousiastes. Presque.
Cependant, lorsque une tempête orageuse s’est abbatu sur nous la veille, j’ai commencé à la sentir beaucoup moins bien, cette nuit en tente. Et même si la pluie s’est arrêté, la température a commencé à descendre un peu trop pour que nous restions des parents hyper cool.
Seule multi au milieu d’un groupe de nulli, j’ai donc passé la soirée à écouter ces joyeux trentenaires raconter comment c’était trop bien de ne pas avoir d’enfant, que cotoyer des parents ne faisait que renforcer leur décision, et qu’au moins ils pouvaient se pinter la tronche au Jet 27 tranquille. Dont acte.
Pendant ce temps, j’empilais petit à petit les épaisseurs sur la Squatteuse tout en sirotant un bon verre de Pommard, et en lançant régulièrement quelques « quand même j’appréhende un peu la nuit sous la tente avec la petite là… » ou encore « on va ptet mettre les matelas dans le garage il fera ptet plus chaud…? » ce à quoi on me répondait par quelques hochements de tête condescendants.
Si la plupart faignaient (ou ne faignaient pas d’ailleurs) l’indifférence totale, quelques heureux locataires de chambre poussaient même l’hypocrisie jusqu’à demander d’un air inquiet – voire réprobateur – si on ne craignaient quand même pas trop qu’elle ait froid.
« Ben si… »
Et voilà. Si inquiets qu’aucun ne nous a proposé de nous laisser de la place au chaud vous pensez bien.
Lorsque nous nous sommes retirés dans nos – frais – quartiers, la Squatteuse déjà couverte de body-chaussettes-pyjama-gilet-turbulette en polaire a eu le droit a un nouvel empilage de nos vêtements et même – au point où on en est – des serviettes de toilettes.
J’ai moi même enfilé des chaussettes avec mon pyjama, c’est dire s’il faisait frisquet pour que j’en arrive à cette extrémité.
Au final, nous avons visiblement eu plus froid que la Squatteuse, qui n’a semblé se rafraîchir qu’au niveau de ce qui dépassait de son mille-feuille de tissus, à savoir une main et un nez – à peu près.
Si au petit matin il y avait déjà comme un malaise, il s’est carrément coincé en travers de la gorge lorsque nous avons découvert que l’amie organisatrice qui devait partager la tente avec nous, avait finalement échoué dans un lit d’appoint dans le bureau (« heu si on a eu froid, et toi ça va ? – heu… oui… mais y’avait qu’un lit une place de toute façon… ») et que la priopriétaire des lieux à osé nous lancé innoncemment au petit déjeuner « on aurait dû vous installer dans la mezzanine avec la petite, vous auriez été mieux non ? »
NON TU CROIS ???!!
J’ai toujours pensé qu’avoir des enfants ne devaient pas nous empêcher de vivre. Mais entre ne pas s’empêcher de vivre, et vivre comme s’ils n’existaient pas, y’a quand même un fossé.
On peut barouder avec des marmots. Vraiment. Et c’est très sympa – malgré tout. C’est juste pas tout à fait pareil que de barouder sans marmots. Et ça demande QUAND MÊME quelques aménagements.
Microbiotes méconnus : la flore intestinale
Les lois de l’évolution ne sont toujours pas enseignées en Faculté de Médecine, et la pratique médicale ignore encore la complexité de l’écosystème qui nous tient lieu d’organisme individuel. Alors que la génétique a régné en maître au cours des … Continuer la lecture → Continuer la lecture
Vieillir (1)
Quand j’étais toute petite, ma vie tournait autour de trois dates : Noël, mon anniversaire, ma fête. Trois événements, trois occasions d’avoir des cadeaux. La vie est simple pour les enfants. Évidemment, il y avait d’autres dates importantes : Pâques pour les chocolats, les vacances scolaires pour les vacances chez mamie, le jour de l’An pour pouvoir se coucher tard.
Et puis j’ai grandi. Je me suis intéressée à d’autres choses que ma petite personne. Mon frère et mes parents avaient eux aussi leurs dates importantes. Et puis, il y avait les fêtes commerciales, celles dont tout le monde parle. Chez nous on fêtait tout ce qui pouvait se fêter : anniversaires, fêtes, anniversaires de mariage et de fiançailles, fête des mères, fête des pères, Saint-Valentin… Ça en faisait des dates à retenir!
Quatorze février, trente avril, deux juin, treize juin, vingt-deux novembre, vingt-cinq décembre… Des gâteaux, des cadeaux, des bougies… Des repas, des fêtes, des rires…
Et puis j’ai encore grandi. À cette collection d’événements familiaux sont venues s’ajouter les dates historiques, celles que tout le monde connaît. Huit mai, dix-huit juin, quatorze juillet, onze novembre… Cortèges, commémorations, jours fériés…
J’ai fondé une famille. Un mari, deux enfants, deux beaux-parents… De nouveaux anniversaires, de nouvelles fêtes. Vingt-et-un août, seize novembre, vingt-deux juin, trente-et-un octobre…
Mon frère a fait de même. Une femme, des enfants… Encore des dates. Vingt-sept avril, quinze août, trente janvier, vingt-deux février…
J’ai vieilli. Des gens sont morts. Treize septembre, trente juillet, vingt-neuf avril…
J’ai trente-six ans. Chaque mois, il y a quelque chose dont je dois me souvenir. Chaque souvenir me ramène quelques années en arrière.
Ma nièce est née un vendredi. C’était le dernier jour de mon stage de moniteur-éducateur, j’ai appris sa naissance par un sms reçu alors que je me trouvais dans le hall d’entrée d’un Institut Médico-Éducatif quelque part dans le Tarn.
Ma mère est morte un lundi, comme mon père. Comme mon beau-père aussi. J’aime pas les lundis.
Je suis née un samedi. Ce soir-là, mes parents devaient aller à un bal. Finalement, ils sont allés à la maternité, je suis née, et mon père est allé au bal tout seul pour annoncer qu’il venait d’avoir une fille!
AZF a explosé le vendredi vingt-et-septembre 2001 à 10h17. J’étais en cours et je rêvais d’une pause café/clope, je venais tout juste de regarder ma montre en soupirant. Il y a eu comme un bruit sourd, puis un souffle. En riant, j’ai dit « tiens, une bombe », et puis… BOUM! Les grandes vitres de la salle ont volé en éclats, il y a eu des hurlements, une bousculade, nous sommes tous sortis précipitamment de l’école. Certains étaient hébétés, d’autres pleuraient, d’autres encore riaient nerveusement. J’ai levé la tête et j’ai vu un grand nuage tout rose, j’ai trouvé ça joli, et inquiétant. Puis je suis rentrée chez moi, calmement, de toute façon l’école était toute cassée, inutile de s’attarder.
Des dates et des souvenirs, j’en ai plein. Une date, un événement, un lieu, un nom. Et puis des images, des bruits, des émotions. Des souvenirs précis, d’autres flous, des sensations diffuses ou des images brutes.
Chaque mois qui commence amène son cortège de dates à retenir. On fête, on commémore, parfois on oublie.
Je vais vieillir, mes enfants vont grandir. Ils vont vivre des choses eux-aussi : diplômes, mariages (j’espère), naissances (j’espère encore plus fort)…
Ceux qui m’entourent vont mourir. Encore des dates, encore des pierres à graver.
Et puis un jour je serai vieille. Une vieille mamie toute ridée toute fripée. Comme toute bonne vieille mamie qui se respecte, je ferai des confitures et tricoterai de la layette pour mes petits-enfants, si je n’ai pas trop d’arthrose. Et comme toute bonne vieille mamie qui se respecte, il faudra me répéter trois fois que la semaine prochaine c’est l’anniversaire de Sidonie, la deuxième fille de mon fils (et non la première fille de ma fille). Moi, pendant ce temps, j’essaierai désespérément de me souvenir du prénom du premier mari d’Amélie, celui qui était si gentil, parce qu’il me semble que c’est bientôt son anniversaire. Perdue dans mes pensées, je n’écouterai pas Georges égrener pour la énième fois les prénoms et anniversaires de ses sept enfants (sept enfants et quatre mères différentes! Quelle idée de tomber si souvent amoureux aussi!). Il me dévisagera, inquiet, me demandera comment s’appelle le plus jeune de ses fils puis, devant mon hésitation, froncera les sourcils, et je devinerai dans ses yeux (qu’il a fort beaux) le spectre d’Alzheimer.
Soyez indulgents avec vos vieux parents. Ils ont tant et tant de souvenirs, tant et tant de dates à retenir, qu’il leur faut parfois du temps pour retrouver le bon moment au bon endroit. Il faut fouiller, dépoussiérer, retourner des vieilles choses. Et puis, parfois, au milieu des images, des sons et des émotions, certains prénoms disparaissent, certaines dates s’effacent, engloutis par la marée montante des choses de la vie…
Soyez gentils, n’accusez pas Monsieur Alzheimer tout de suite, n’invoquez pas la sénilité, acceptez juste que parfois, les vieux ont la mémoire qui déborde de trop de choses. Continuer la lecture
La visite du lundi #3
Rien n’a changé, et pourtant, plus rien n’est pareil. Elle fait sa sieste sur une chaise de cuisine, les pieds sur une autre chaise, prête à sursauter dès qu’elle entend ma voiture s’arrêter dans la cour. Lui dormait dans la chambre, elle le hélait d’un « eh grand-père, v´là l’docteur! » Et il rappliquait de son pas […] Continuer la lecture
Très carré
Au début, j’ai adoré mon stage d’externe en psychiatrie. Parce que c’était bien carré. Avec des symptômes psychiatriques à retrouver (façon oeufs de Pâques) Des associations de symptômes qui formaient des syndromes. Et pour finir, une classification bien carrée pour faire rentrer des syndromes bien carrés dans des cases bien carrées. (le DSM IV, ils Continuer la lecture
L’aphasie du pays
Le deuxième mois au pays des Durians se termine dans quelques jours. Je vis probablement ce que tout membre de diaspora vit lorsqu’il découvre son pays d’origine. Un dépaysement intense dans un monde familier, comme si l’on rentrait chez soi … Lire la suite → Continuer la lecture
Je suis un atout
Lorsque j’étais enfant, je jouais au tarot avec ma famille les soirs d’été. Même si depuis j’ai oublié les règles, je me souviens que j’aimais ça. J’adorais les petites scènes dessinées sur les atouts. J’ai maintenant grandi et de ces nuits passées à quémander un peu de… Continuer la lecture
TLDE ou The Lancet Diabetes & Endocrinology : un bon départ avec le numéro 1, volume 1 en septembre 2013
Comme annoncé, le voici le numéro 1 d’une nouvelle revue de la famille Lancet ! Elsevier avance régulièrement pour augmenter cette famille ! Que penser de ce numéro ? Je ne suis pas endocrinologue, mais j’ai observé le style Lancet avec des articles bien écrits (en fait ré-écrits par des rédacteurs professionnels..). Les objectifs sont ambitieux et quelques compétiteurs devraient… Continuer la lecture
Quand le NEJM utilise un titre digne de France-Dimanche
Je ne sais pas si vous avez déjà lu France-Dimanche, avant l’arrivée de Voici, Closer et autre revues de haut niveau, c’était une bonne lecture dans la chambre des patients pour l’externe ou l’interne qui s’ennuyait pendant la visite du … Continuer la lecture → Continuer la lecture
Preparonsmaretraite.fr
De nombreux sites Internet sur ce sujet ont vu le jour ces dernières années sur le Web. Le petit dernier, intitulé « Préparons ma retraite », est développé par l’assureur AG2R La Mondiale. Le site propose « un traitement global, personnalisé, direct et positif, dépassant les seules questions de finance », fait remarquer l’assureur dans son communiqué. Il permet après inscription aux futurs retraités et retraités des suivis … Continuer la lecture
Le RSA et l’allocation adulte handicapé augmentent au 1er septembre 2013
Les ministres Marisol Touraine et Marie-Arlette Carlotti viennent d’annoncer la revalorisation du revenu de solidarité active (RSA-socle) de 2 % au 1er septembre 2013. Cette hausse est la première étape de la revalorisation exceptionnelle de 10 % du RSA-socle d’ici 2017, adoptée dans le cadre du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale du 21 janvier 2013. Elle permet de mettre un terme au décrochage du niveau du RSA … Continuer la lecture
Retraites : l’heure de la réforme. Les cotisations vont augmenter, mais pas la CSG. La durée de cotisation passera à 43 ans en 2035
Jean-Marc Ayrault a reçu pendant deux jours les partenaires sociaux à Matignon, pour une ultime concertation afin de préparer la réforme des retraites. Puis Matignon a dévoilé dans la foulée, mardi soir, son projet de réforme des retraites, le premier d’un gouvernement socialiste. La réforme proposée vise à équilibrer le régime général, le Fond de solidarité vieillesse (FSV) et les régimes non équilibrés par subvention, dont le déficit … Continuer la lecture
Une étrange théophanie dans la chambre 7.
OU La déesse Pachamama qui se faisait passer pour une vieille femme démente. « Pallas Athéna, la glorieuse déesse aux yeux pers […] Zeus l’engendra seul, de sa tête vénérable, déjà revêtue des armes de la guerre, étincelante d’or. » Homère « Je vais libérer le Kraken ! » Ma co-interne J. quand elle va faire caca aux toilettes. […]
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Lanceurs d’alertes, éthique et entreprise
Quand un homme politique parle des lanceurs d’alerte, la profondeur et la gravité du problème deviennent évidentes.
Lanceurs d’alertes, éthique et entreprise
Quand un homme politique parle des lanceurs d’alerte, la profondeur et la gravité du problème deviennent évidentes.
L’auto-plagiat pollue la littérature, complique les recherches documentaires et augmente le travail éditorial de la communauté scientifique
SEE (Science and Engineering Ethics) est une revue de Springer qui publie des mises au point qui abordent souvent des questions relatives aux publications. Les articles sont trop longs (20 pages en moyenne), diffciles à lire, appelés à tort ‘original paper’, mais ils sont toujours intéressants. Dans le numéro de septembre 2013, un chercheur roumain a publié : « Self-plagiarism in… Continuer la lecture
Comme à la télé (oui, encore).
Réalisant l’écrasante vacuité de construire des châteaux pour avoir des bonus pour construire un restaurant pour débloquer des niveaux pour construire une maison pour gagner de quoi élever des dragons pour faciliter la progression dans un Candy-Crush-like histoire de patienter entre deux régénérations de vie dans Candy Crush, je me suis dit que j’allais essayer […] Continuer la lecture
Cancers de la thyroïde : surveiller plus, opérer moins.
Les progrès de l’imagerie médicale et en particulier de l’échographie entraineraient des interventions pas toujours nécessaires si on en croit une étude américaine publiée dans le British Medical Journal. La question du dépistage de certaines affections revient régulièrement sur le tapis. A une époque, le mot ‘dépistage’ avait une sorte de connotation magique et personne …
L’actualité syndicale de la semaine dans la Sécu
Le SNFOCOS, dans sa « Lettre de la Michodière » de rentrée (30 août), revient sur la régularisation des salariés bénéficiaires de l’article 32, soit les cadres diplômés Ucanss avant l’application du protocole de 2004. Une décision qui devait, en principe, mettre fin à tout litige dans les organismes. Mais voilà, une lettre de l’UCANSS, adressée le 16 juillet 2013 aux directeurs d’organismes, orchestre le clivage entre les … Continuer la lecture
Marseille : Un employé de la CPAM se suicide en sautant du 8e étage du centre Kléber
Un agent d’entretien de la Caisse primaire des Bouches du Rhône s’est suicidé jeudi en sautant du 8e étage d’un centre de l’organisme à Marseille. « Il a sauté d’un coup à travers une fenêtre » du centre Kléber (IIIe arrondissement), sous les yeux de plusieurs employés, a-t-on précisé à la CPAM. L’homme travaillait dans la logistique dans un autre centre, celui de Valmante, a précisé la CPAM, qui exclut à ce stade que son suicide … Continuer la lecture
Un Baromètre économique de l’Acoss un peu plus positif du côté de l’emploi
D’après les indicateurs de l’Acoss publiés dans son baromètre économique de août 2013, le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois dans les secteurs marchands, hors intérim, est reparti en hausse au mois de juillet avec une progression de 3,6 %. Orientés à la baisse depuis près de deux ans, ces recrutements avaient augmenté de 4,2 % en mai, une éclaircie vite balayée par un repli de 5,8 % en juin. Sur 3 mois, les … Continuer la lecture
European Science Editing d’août 2013 : soutien à DORA pour abandonner le facteur d’impact
Comme d’habitude, bon numéro de ESE, la revue de EASE (European Association of Science Editors), en août 2013. Trois contributions sur la problématique du mauvais usage d’un bon indicateur, le facteur d’impact. Dans l’éditorial du rédacteur en chef, Armen Gasparyan, il cite la revue CA : A Cancer Journal for Clinicians qui publie 6 numéros par an avec environ 25… Continuer la lecture
La cigarette électronique est utile et n’est pas dangereuse
La cigarette électronique a fait la preuve de son utilité contre le tabagisme et rien ne permet de penser qu’elle présente la moindre toxicité. Elle constituera sans doute le plus grand progrès en terme de santé publique du XXIe siècle.
/
tabac,
Politique de santé,
Produits géniaux Continuer la lecture
La cigarette électronique est utile et n’est pas dangereuse
La cigarette électronique a fait la preuve de son utilité contre le tabagisme et rien ne permet de penser qu’elle présente la moindre toxicité. Elle constituera sans doute le plus grand progrès en terme de santé publique du XXIe siècle.
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Actualisation des recommandations de Vancouver, avec un 4ème critère (intégrité) pour la qualification d’auteur !
Attendues depuis 2 ans, les recommandations de Vancouver (ICMJE pour International Committee of Medical Journal Editors) ont été actualisées et une nouvelle version mise en ligne fin août 2013. Cette version est mieux écrite, plus concise et apporte de nouvelles notions. Un communiqué de ICMJE précise quelques points. Je remarque rapidement : Un nouveau titre : « ICMJE Recommendations for the… Continuer la lecture
The myth of nicotine addiction
The HAS (French High Health Authority) is preparing a revision of the 2003 Afssaps recommendations on strategies to support smoking cessation. These recommendations for « Good Practice », like many others, were written on the basis of expertise in a situation where conflicts of interest with the pharmaceutical industry were not controlled. The result was the promotion of drug interventions that have little or no effect, even with an unfavorable benefit-risk balance. In this letter to the (…)
Tant mieux
«♫ Grand-père a coupé, les poils de son nez, pour faire un chapeau à la mode ♫; la mode est passée, les poils sont tombés, Grand-père a plus d’poils dans son nez … ♫ Qu’est-ce que c’est ??? ♫ » Non je … Lire la suite → Continuer la lecture
Carabosse
Tandis que Mme Ylliac refermait laborieusement la porte de son pavillon, je maugréais intérieurement tout en cherchant où j’avais garé ma voiture. Cette fois encore je n’avais pas réussi à canaliser ma patiente, la visite avait duré plus de 45 … Continue la lecture → Continuer la lecture
La tendance à une certaine amélioration sur le front du chômage se confirme au mois de juillet
Les chiffres du nombre d’inscrits à Pôle emploi pour juillet, communiqués le 27 août par le ministère du Travail, confirment la tendance observée depuis le mois de mai. La progression du nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (sans activité) est modérée. Après avoir augmenté de 100 en mai et de 14 900 en juin, les inscriptions ont à nouveau progressé de 6300 au mois de juillet (+0,2 % sur un mois, mais +10 % sur un an), portant à … Continuer la lecture
Vente de médicaments en ligne : un lancement dans la confusion
Entre les sites pirates qui se multiplient (près d’une centaine) et ceux, agréés, qui ne sont pas conformes aux règles, c’est plutôt la confusion qui règne. La vente illégale de médicaments sur le Net ne date pas d’hier, mais, pour le lieutenant-colonel Nicolas Duvinage, adjoint au commandant de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp), « ce qui est nouveau, c’est le mode … Continuer la lecture
Attention aux incompétents qui demandent communication des données originales des essais : publions tout dans les revues mais sous la responsabilité d’experts
Les éditoriaux controversés sont trop rares dans nos revues. C’est une rubrique régulière du BMJ sous le titre Head to Head, et ils sont bien faits. En juillet, 2 éditoriaux pour répondre à la question : « Are clinical trials data shared sufficiently today? ». Deux experts donnent des réponses opposées : John Castellani, américain qui préside Pharmaceutical Research and Manufacturer of… Continuer la lecture
Les femmes qui avaient les mêmes tresses blanches.
Les femmes qui avaient les mêmes tresses blanches. « Il n’y a pas que des cons sur Terre, mais tous les cons y sont ». Proverbe de rugbymen toulousains (en parlant des footeux). L’histoire c’est E., l’écriture c’est moi. Juste merci ! Pour raconter : http://www.alorsvoila.com/contact Alors voilà, devant l’ambulance, la vieille dame a dit : – […]
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FTDI 2303 for ATMEGA sketch upload : some problems resolved
I’ve been using FDTI 2303 usb link for ATMEGA sketch upload.
Here is a very good HOWTO.
But some informations may be useful :
About FTDI USB PL2303 , i’ve been buying in HK, it’s possible to add a reset pin, soldering a ca… Continuer la lecture
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